Une démone à la recherche de qulqu'un

Je soupire lorsque nous sommes arrivé mais ce que je vis pas c'est la crise que fit mon compagnon en entendant le mot "trauma"

- Le trau-trau le trauma ?!? Non ! Pas le trauma' ! Je ne veux pas mourir ! Je veux pas revire ça, par pitié, non

Je me suis aussi mis à paniquer mais ils avaient l'aire de savoir ce qu'il faisait. Avant qu'il l'emmène je l'embrasse chastement sur les lèvre et va patienté tranquillement dans la salle d'attente. Mes nerfs étaient à bout surtout en voyant tous les stressés dans la salle. La tension en moi monte et certaine lumière clignote.

Je vis Keith sortir en courant comme paniqué et hurler des noms... Je panique et me met sur son passage. Il n'a pas l'air de me voir et cela me vexe beaucoup. Les médecins viennent à mon aise et essais de le séparer de moi. Je les regarde méchamment et les defis du regard de s'approcher.

-Keith c'est moi, tu m'entend?

Il ne me répondit pas regardant par dessus mon épaule comme si je n'étais pas la. Les larmes me montent au yeux. Est-ce qu'il m'avait déjà oublié. Je laisse un petit gémissement de douleur sortir ainsi que mes larmes couler. Je me jette sur lui et l'embrasse à pleine bouche. Ensuite je me sépare de lui.

-S'il te plaît calme toi.

Il reprit enfin ses esprits et je soupire de soulagement lorsqu'il m'embrasse enfin. Il me voit enfin. Je souris lorsqu'il me demande :

- Je... Je vais me calmer... Mais je suis vraiment obligé de repasser en trauma' ?

Je soupire et fit un signe de la tête. Il s'est laissé faire et je m'excuse pour les lampes que j'ai cassé. Lorsque je l'avais vu sortir en courant j'avais baissé ma garde et mon contrôle. J'attendis des heures et des heures avant que le médecin qui l'avait pris en charge sorte. Je me précipite immédiatement sur lui et commence à lui poser plein de question.

-Il est sévèrement blessé mais sa vie n'est plus en danger.

Je soupire de soulagement.

-Mais les horaires de visites sont terminés vous ne pouvez pas aller le voir.

Je me fige... Bon il lui avait sauvé la vie je ne pouvais pas le tuer... Je décide de passer par la fenêtre.

Je lui sourit une fois rentré. Il avait l'air d'être réveillé et pas mort. Je soupire de soulagement. Même si le médecin m'avait dit qu'il était vivant, on m'a trop menti dans ma vie pour que je fasse confiance à un étranger.

- Poooouuurquoi tu n'es pas passé par la pooorte !

Je fut étonné. Est-ce que j'ai fait un truc de mal? Je commence à bégayer.

-C-c-c'est que les... terminer... pas me laisser passer... Mais...vouloir.... voir toi.

Il me dit de venir le voir et ce que je fis. Il m'embrassa passionnément et je sourit tout en me collant contre lui. Je penses que je vais dormir ici, je me sens bien.

Les caresses qu'il me faisait était vraiment tranquillisante et je ronronnais presque lorsque sa main passait dans mes cheveux. Je m'endormis très rapidement.
Le lendemain je me fit réveiller par une infirmière et sa voix trop aïgu pour un réveil.

-Que faites vous là? Les visites ne sont pas encore autoriser.

N'étant vraiment pas du matin je l’assomme et me pelote contre mon homme qui sentais vachement bon. Je cale ma tête dans son cou et passe ms bras sur son ventre.

Je souris en sentant tout les baisers que me donnait mon homme et ouvre les yeux lentement. Il me demande comment je vais et tout et je pouffe légèrement.

-ça n'est pas moi qui suis sur un lit d'hôpital. Tu te sens mieux? Tu as toujours mal.

J'aurais bien accéléré sa guérison me le faire à répétions devenait dangereux pour un corps non fait pour ça. voyant que ma main lui faisait mal je me décolle entièrement de lui. J'étais tellement soulagé la veille que je n'y avais pas pensée.

-Tu veux quelques chose, tusais que tu peux tout me demander.

Je lui souris.

Il m'embrassait tout en me disant plein de mot. Je ne comprenait pas ce qu'il disait. Il avait une vie dure? Il ne l'aimait pas.

- Rien ne peut me rendre plus heureux que toi, en ce moment. J'aimais bien ma vie, mais maintenant que tu y es, cette vie était si... Vide. Je t'aime...

Il... Il... Il me faisait une déclaration. Je devais être plus rouge qu'une tomate. C'était la première fois qu'on m'en faisait une et en plus ça venait de l'homme que j'ai... Oui c'est bien ça, ça venait de l'homme que j'aime. Je viens de me rendre compte que je n'avais rien avant dans ma tour enfermer. Je pensais toujours que les autres qui pouvait être libre, aller où il voulait avait une vie bien meilleure mais je viens de me rendre compte que tous ce qui me manquer était lui. Il aurait été avec moi même enfermé je n'aurais pas souffert. Je lui souris tendrement.

Ton humeur changeante offre des raisonement totalement nouveaux sur le sens de la vie et comment il faut la vire...Tu étais là pour moi, et tu l'es encore. J'aimerais dire que ça durera pour toujours mais je ne sais pas ce que la vie nous réserv...

Il commence à ne plus parler et les infirmières arrivent en courant. Je commence à panique et les voyants autour de lui lorsqu'une femme vint m'attraper pour que je ne m'approche pas.

-Keith!

Je ne pouvais que crier.

-Keith! Je t'aime! ne me laisse pas!

J'avais les larmes aux yeux. Allais-je perdre la seule chose dont j'avais besoin.

J'ouvris grand les yeux, cela ne pouvait pas être... non, je refuse. Je sens les larmes me montaient aux yeux peandant qu'une infirmière essais de me réconforter. Mais comment voulait vous que je les crois lorsque je n'entends plus le coeur de mon homme battre. Les larmes roulèrent sur mes joues mais je refusaient d'abandonner. Je m'approhe de lui en envoyant balader toutes les infirmières et médecin et lui dit clairement avec rage.

-Si tu meurs j'irais moi-même te chercher en enfer pour te tuer de mes propres mains.

Je place les dites mains au niveau de sa poitrine et lance des petites décharges, histoire de réveiller son coeur, me concentrant sur les bip de la machine.
Lorsque son coeur repartie je fis un sourire franc avant de le confier au médecin.

Une fois qu'ils l'ont emmené je m'assis sur une chaise à boue de force. J'étais fatigué et surtout inquiète. Je ne me suis jamais sentis comme ça même lorsque je me suis battue pendant des heures contre des centaines de démons. Cette homme me faisait ressentir vraiment des choses nouvelles, aussi plaisante que déplaisante.

J'étais assise pendant des heures et la tension ne me quittait pas, j'étais tellement stressais que c'étais moi qui alimentais l'hôpital en électricité.La porte s'ouvrit et laissa enfin apparaître l'homme que j'attendais. L'infirmière vint me voir et me dit que tout allais bien.Je souris franchement et elle quitte la chambre. Je m'approche de lui et le regarde. Il avait l'air d'être vraiment mal au point. Je descend doucement et dépose délicatement mes lèvres sur les siennes, je rougis aussitôt. Qu'est ce que je suis en train de faire?Je retourne m'asseoir, rouge et m'endormi.

Je fis de très beau rêve avant de sentir un regard sur moi.J'ouvre les yeux et tombe sur deux billes grises.Je souris mais ne vas pas vers lui, tout à l'heure c'était probablement de ma faute si il avait failli mourir, je lui ai sauté dessus comme idiote.

-Tu vas mieux?

Je rougis au surnom et au baiser envoyer. Je détourne le regard aussitôt avant de bégayer une réponse.

-O-o-o-oui, eu... Mais c-c'est quand même de m-m-a faute.

Je me lève et m'approche doucement de lui et m’assois tout doucement à ses côtés sans le touché. Je pose ma tête sur sa poitrine en faisant attention et en ne mettant pas tout mon poids et lui dit.

-Dis, tu ne me laisseras pas seule?

J'étais seule pendant si longtemps que maintenant que j'ai pris goût à être avec Keith que s'il me quitter je risquait d'être dévaster. Mon coeur se serra en attendant la réponses. S'il me rejetait c'était tout à fait normal je suis maladroite, idiote et j'ai failli le tuer eux fois... En fait je ferais mieux de partir...

- Je vais bien, ne t’inquiète pas... Mais je ne vais vraiment pas aller bien si tu t'en vas. Je vais même en crever. C'est cela que tu veux ? Me faire mourir de désespoir en attendant ton retour éventuel ?

Comment pouvait-il dire ça. J'étais à ma limite et même si je ne le montrait j'étais à court de pouvoir magique, or pour un démon son pouvoir est la source de sa vie. En plus se battre contre la faucheuse deux fois... Je vous dis que cela laisse des séquelles mais bon elle commence à guérir et pour une fois même s'il fait chaud j'ai fermé ma veste, Keith risquait de s'en vouloir.

-Bien sûr que non, idiot! Si je voulais que tu meurt je ne t'aurais pas sauver la vie deux! Et puis je te l'ai dit si tu meurt je te ferais ressusciter et je te tuerais de mes propres mains et sans compter sur ce que va faire mon grand frère donc ta pas intérêt à mourir!

J'appuis sur le bouton pour que l'infirmière vienne le soigner et c'est ce qu'elle fie à la seconde. C'est vrai que ses mains baladeuses ne me plaisaient pas beaucoup et qu'elle insistait un peu trop sur l'abdominale de mon homme alors que sa blessure était au niveau des côte... Le pire était que ce dernier louchait légèrement au niveau de la poitrine de la fille et pour une quelque raison cela ma déplaisait. Je ne dis rien mais détourne la tête avec une bouilli qui disait "je b"boude". Je me rassis dans mon siège et ramène mon genoux au niveau de la poitrine, ma jupe ne cachant plus rien. Elle n'avait même pas de plus gros sein que moi, il lui trouve quoi ?

- Qu'est-ce qu'il y a ?

Et il ose me demander. Je m’approche de lui de ma démarche de prédateur lui faisant bien comprendre qu'il risquait de regretter avant de me pencher sur lui. Je souffle dans l'oreille posant ma poitrine contre la sienne et lui dit.

-Tu as été un vilain garçon et il faut te punir.

Je me redresse, j'étais à califourchon sur lui et ouvre ma veste tout doucement jusqu'au bout mais la garde sur les épaules. J'ouvre ensuite ma jupe et me lève la laissant tomber par terre. Ensuite je rentre dans la douche... Oui parce qu'avec tous ces combats ça sali, une bonne douche me ferait du bien. J'ouvre l'eau chaude et la laisse couler sur ma peau nu.

- Tu as été un mauvais garçon et il faut te punir.

Se la jouerait-elle dominatrice, d'un coup ?! Elle se mit à califourchon sur moi, tout en déboutonnant sa veste lentement mais surement... Elle me regarda d'un oeil lubrique, avant d’envoyer valser sa jupe.

- Euh... Je suis toujours sur un lit d'hôpital, je... Euh...

Elle sourit avant de partir dans la salle de bain, d'où j'entendais couler l'eau. Je vais péter un câble. Elle me fait un strip' pour finir par aller se laver. Mais c'est pas juuusteuh ><
Je réfléchissais à sa physionomie quand elle était sur moi : sa veste coulait totalement de ses épaules mai restant sur ses seins, bien enclavés sur ses bras, sa culotte jaune toujours présente, ses cheveux noirs étaient totalement ébourrifés, son sourire et ses yeux prévenaient de quelque chose de pas très catholique... Mais elle va se laver. Dur...

Elle m'extirpa de mes pensées lorsqu'elle sortit, vêtue d'une toute petite serviette, ses cheveux bouclant légèrement, et ses yeux me regardant toujours aussi ardemment. Elle tamisa la lumière avant de venir vers moi... Oh oui !

Je m'avance vers lui toujours d'un pas prédateur ne lui en toujours pas pardonner le coup de le coup de l'infirmière et m'allonge à ses côtés. Je lui fit une petite bise dans le coup avant de lui souffler à l'oreille.

-Je t'aime.

Je le pris tendrement dans mes bras et me colle légèrement à lui, profitant de la chaleur qu'il dégageait. Je soupire d'aise avant de fermer les yeux pour m'endormir mais quelques horribles souvenirs me reviennent et je 'ouvre les yeux très rapidement.

-Tu ne me fera pas souffrir.

On m'a dit un jour que j'avais eu ma dose de souffrance mais que pourtant elle continuera à me coller. J'étais tellement heureuse avec Keith surtout dans ses bras, enfin son seul bras valide, que je me disais que c'était impossible que cela continu. Je soupire avant de déposer un chaste baiser sur ses lèvres et de lui sourire.

-Je prendrais soin de toi mais il faudra juste me dire comment parce que je ne connais rien du monde extérieur.