Une démone à la recherche de qulqu'un

Je lui fit un sourire angélique. On dirait que la chose que je croyais inutile était peut-être utile finalement. Je pris son bras et le plaça au même endroit où se balader ses yeux. J'eus un regard suppliant.

-S'il te plaîîîîît.

Je me colle encore plus à lui avant de rajouter.

-Je ferais tous ce que tu veux!

Je voulais le revoir, ces plumes!

Il va peut être marcher.

- Qu-qu'est-ce que tu veux voir, Louna ?

Je lui fait cette fois un sourire franc et resserre ma prise du à la joie.

-Voir tes plumes, elles sont magnifiques!

J'avais vraiment envie de les voir peut importe le prix. Je le regarde plein d'espoir mais avec une peur de me faire rejeter. tout à l'heure il m'avait gronder à cause de ça c'est pour ça que je devais me rachetais.

-Je te promet que je te revaudrais ça et que si tu veux quelque chose, n'importe quoi je le ferais!

Je le vis enlever son T-shirt et avoir plein de blessure. Je m'inquiètes un peu mais ne dit rien. Dans notre famille les blessures se cicatrises automatiquement et ne laisse aucune trace physique, mentale c'est autre chose. Je touche ma poitrine où par réflexe la où une cicatrice douloureuse avait disparut. Mais tout mes problème s'envolèrent lorsque l'aile noir s'ouvrit dans un ballet de plume qui dansait autour de lui. Là je trouvais Keith vraiment beau. Je lui souris.

-Merci.

J'attrape une plume et joue avec tout en regardant autour de moi les autres plumes. Il finit par ranger son aile. Je ne pose pas la question du pourquoi il n'en avait que une, je pensais que c'était déplaçais. Je lui souris encore une fois et lui dit.

-Maintenant je t'en dois une, alors qu'est ce que tu veux faire? Tu sais tu peux tout me demander.

Je le vois s'approcher et mettre ses mains autour de mon visage. Qu'allait-il faire je ne savais pas du tout. Peut-allais-il recommencer ce qu'il avait fait dans le restaurant. Instinctivement je rougis et ferme les yeux. Personnes ne m'avaient jamais autant touchés. Je sentis des lèvres sur les miennes et je répondis timidement. Ensuite il se recule pour me dévisager et je lui pose une question.

-Entre ami, on fait toujours ça?

J'étais un peu rouge mais la seule relation que je connaissait était celle entre un frère et une soeur ou bien un animal de compagnie et son maître. Aucune relation démone lui avait été autorisé.

J'avais les larmes aux yeux... Il venait dire qu'il était plus mon ami je venais à peine de le trouver que je le perd tout de suit après tout ça parce que je suis égoïste. Ne maîtrisant plus mes émotions les éclaires commences à apparaître.

-Donc si lui là-bas qui me fait des signe bizarre depuis tout à l'heure m'embrasse je dois le rejeter.

Je lui montre un type qui léchait ses lèvres tout me regardant intensément. Quoi? J'ai pas de gâteau sur moi. Je soupire en ne comprenant pas ce que disait l'autre.

-- Je ne te considère pas comme une aime, non. Tu es plus qu'une amie, en fait. Tu n'es pas une meilleure amie, tu es plus. Un peu plus...

y'avait quoi après l'ami? Elle ne savait, elle avait lu un livre une fois, il fut brûler tout de suite après et le type qui l'avait laissé traîner enfermer... Pour dire que je n'ai plus jamais essayer de lire ce genre de livre. Mais je me souviens clairement d'une chose.

-Tu m'aimes?

Je ne sais pas pourquoi mais en entendant sa phrase mon coeur battait dans ma cage thoracique plus que d'habitude et lorsqu'il m'embrassa je ne put que répondre même si je n'étais pas très doué pour cela. Je rougis un peu plus lorsque je sens sa langue dans ma bouche mais je joue le jeux quand même. Le lampadaire s'alluma et s'éclate, éparpillant le verre qui brillait de mille feu. Oups, le contrôle, contrôle... Je devrais peut-être prendre des cours.
Je me colle ensuite à lui et lui demande.

-En fait tu es quoi? Ton odeur est différente, c'est comme ça que j'ai pu te rattraper.

Je me lève ensuite lui donnant la main pour qu'il se lève aussi tout cela avec un beau sourire.

Je rigole légèrement en voyant le bout de lampadaire dans ses cheveux qui brillait. Je me mit sur la pointe des pieds, parce oui il était beaucoup plus grand que moi, et enlève le morceau de verre.

-Oh, moi pas grand chose, juste une démone à sang royale c'est tout.

Je me mis à rougir de gêne. Je ne savais pas comment me comporter dans ce genre de situation. La même femme de chambre disait qu'il fallait le coller le plus possible c'est ce que je fis. Je me suis collé à lui et ma poitrine fut légèrement écrasé. Ils servent définitivement à rien.

-Tu ne veux pas qu'on marche.

J'adorais cette situation. On était tout les deux dans un calme qui faisait du bien et avec un vent frais. Je souris toute seule. Cela faisait longtemps que je n'avais pas marcher où je voulais. De plus la présence de mon... petit ami? me rendait plus qu'heureuse. Comme l'expression "il faut se satisfaire des choses simple". Mais mon bonheurs fut de courte durée lorsque j'entendis.

- Hé, vous deux, dégagez, vous n'êtes pas la bienvenue !

J'étais enfin libre et il voulait m'empêcher de me balader. Je me retourne avec un grand sourire angélique?

-Pardon.
-Les gamins, vous dérangez! Bougez de la.

J'étais à deux doigts d'éclater. Mes pupilles se fendirent encore une fois et mes canines s'allongèrent.

-Tu es né mille ans trop tard pour osé me dire ça.

J'allais tous les tuer un par un. Je n'en laisserais aucun vivant. Lorsque le premier vint m'attaquer je vis mon homme s'interposer et je ne put m'empêcher de trouver cela chou. Après l'avoir tuer (c'est qu'il était plutôt fort) il sortit son aile et je ne pus m'empêcher d'être submergé par sa beauté. Les plumes noires dansaient autour de lui mais ma distraction me doit qu'un vampire vint me prendre à la gorge.

-Tu vas mourir.

Je fis un sourire effrayant avant de le regarder dans les yeux.

-Tu gâche le spectacle.

Je relâche une grande quantité d'énergie sous forme d'électricité et tout le monde est touché sans distinction. Une fois sur que tout le monde est dans le rayon et immobiliser j’augmente la tension et dépasse le seuil de mortalité même chez les démons. Heureusement que mon chéri vole.

Je vis mon homme en difficulté et me précipite vers lui dès qu'il pose à terre. Je l'attrape par l'oreille et lance un petit électrochoc histoire qu'il est quelque soubresaut pour qu'il lâche mon homme, oui MON homme. En plus c'était une femme. Ce que je n'avais pas prévu ce que le dit homme s’effondre. Je panique, est-ce que c'est de ma faute. Je dégage l'autre corps sans aucune délicatesse et me met à genoux.

-Keith, tu vas bien? Tu as mal.

Je suis très mauvaise en médecine, j'ai plus l'habitude de tuer que de soigner. J’essaie cependant de voir où il avait mal.

-Faut que je t'emmène à l'hôpital

Il avait l'air effrayer de quelque chose mais je ne savais pas quoi mais si on le laisser dans cet état il risquait de mourir. Je passe son bras sur mon épaule et le prend par la taille. Il était plutôt lourd pour moi mais je tiens bon, il faut que je l'emmène à l'hôpital. Je souffle avant de me rappeler que je ne savais même pas où était l'hôpital. Je me concentre en cherchant une rue avec du monde au moins eux pourront m'aider.

- Je peux pas a-a-aller à l'hopit-tal...J-ai t-t-trop p-pe...

En entendant ça je compris tout de suite. Je lui fis un sourire avant de l'embrasser chastement..

-Ne t'inquiètes pas je serais là. Et de toute façon tu ne peux pas mourir puis que je ferais battre ton coeur s'il s'arrête.

C'est vrai je ne le laisserais mourir pour rien au monde, même si je o=dois mourir pour ça, je le protégerais. Je commence à marcher avec difficulté tout en pensant que je ne connaissais absolument rien de lui. était-ce bien de lui faire autant confiance? Keith avait l'air de me faire confiance alors pourquoi n'en ferais-je pas autant. Je vois enfin une personne.

-Excusez moi, j'ai besoin d'aide.

Il voit l'état de mon homme et prend un objet étrange. Quelques minutes après des hommes en noires vinrent et prirent mon compagnon. Au départ il ne voulait pas m'emmener avec lui.

-Qui êtes vous?
-Qui je suis?
-Oui qui êtes vous pour cette personne.
-Je suis...

Que suis-je répondre?

- C'est ma... Hum... Petite amie ?

J'ouvris grand les yeux en le regardant. Il me considérait comme tel, j'étais sa petite amie.

- Ben quoi ? C'est pas un peu vrai ?

Je ne pus m'empêcher de lui faire un grand sourire qui venait du fond de mon coeur. J'étais heureuse même s'il était en ce moment même sur une civière et qu'il avait du sang partout. Je me retourne ensuite vers ce qu'ils appellent un sapeur pompier et reprend mon regard démoniaque.

-Il lui arrive une bricole vous mourrez tous dans d'atroce souffrance.

Ils eurent tous un frisson et le chauffeur accéléra d'un cou.